Une pièce dans la pièce, des acteurs dans la salle (petite salle très sympatique d'une centaine de places, intime comme un cinéma de quartier, au pied de la butte Montmartre), la fin de l'histoire au début et ce commencement qui se répète à la fin, un auteur joint par téléphone et qui parle français avec un pseudo-accent new yorkais, un personnage de nymphomane au nom typiquement juif américain, mais issue de La Courneuve pour les besoins de l'adaptation française, un suicide en direct live, un directeur de théâtre bonimenteur (et dans bonimenteur, il y a menteur), des effets spéciaux volontairement cheap, une crise de fou rire évitée de justesse ...
Voilà pour la forme de cette histoire qui n'en est pas vraiment une. Quant au fond, comme le dit le texte d'ailleurs, pour les messages, il y a la poste.
Mais une véritable heure de bonheur et de rire pour qui aime l'absurde et la loufoquerie.
Voilà pour la forme de cette histoire qui n'en est pas vraiment une. Quant au fond, comme le dit le texte d'ailleurs, pour les messages, il y a la poste.
Mais une véritable heure de bonheur et de rire pour qui aime l'absurde et la loufoquerie.